Ce contrôle permet de rechercher et déceler les températures anormales et les variations excessives de celles-ci. Puis, apporter les éléments de décision permettant une intervention corrective ou préventive adaptée sur les installations, équipements et matériels ainsi identifiés pour éviter, par exemple, une dégradation des matériels, un court-circuit, un début d’incendie, un déclenchement intempestif de matériels ou d’installations et équipements associés, un arrêt de production.
Ceci est l'exemple type d'une mauvaise connexion. Elle peut apparaître suite à l'intervention de l'homme, de vibration, de différence de température ou encore d'ambiance corrosive, etc...
Le passage d'une caméra thermique, une fois par an, peut permettre d'éviter ce type de désagrément.
L'idéal est de pouvoir passer 2 fois dans l'année. En effet, l'installation électrique peut-être soumise à une charge plus importante l'hiver, avec les chauffages électriques et les pompes à chaleur.
Et l'été peut agir sur certaines armoires électriques via les radiations du soleil.
Ceci, va dépendre, bien sûr, du type d'établissement et de la disposition des installations électriques...
Dans ce cas, la graisse de contact à l'origine de la cosse perd de son efficacité et devient isolante.
Ce cas de figure montre que les cages de serrage ne sont pas faites pour recevoir 2 conducteurs. Bien qu'ils soient de la même section, le serrage peut-être défectueux.
C'est alors, qu'une résistance apparaît. Elle crée un échauffement localisé.
Pour éviter ce phénomène, il faut utiliser des connecteurs multiples qui permettent de créer, une répartition des conducteurs provenant d'un même pôle.
Ainsi, on obtient un seul conducteur par connexion.